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Le paysage des Dauges est caractérisé par de nombreux puys aux côtes douces couvertes de feuillus et de résineux. |
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Dépression de 3 m de diamètre sur 1,5 m de profondeur, creusée par la main de l'homme et de fonction inconnue. |
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Les bouleaux sont les premiers à arborer leur nouvelle parure de feuilles tendres d'un beau vert pâle. |
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La tourbière est morcelée en parcelles clôturées destinées à l'élevage expensif. |
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La tourbière est gorgée d'eau en cette saison. Des zones d'eau libre se forment alors, où poussent sphaignes et iris. |
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Les Drosera rotundifolia sont difficiles à voir même pour l'oeil exercé. |
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Jeune pieds de rossolis dont l'hibernacle s'est ouvert il y a moins de deux semaines. |
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La sphaigne recouvre les plantes pendant la saison morte, les protégeant ainsi du gel. Au printemps, elles s'extirpent de la mousse en formant une tige de plusieurs centimètres. |
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Hibernacles fraîchement éclos de la semaine. |
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Vu du dessus du massif de drosera précédent. |
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Ces drosera croissent en compagnie d'iridacées, ce qui est assez rare. |
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Drosera précédent sous un autre angle de vue. |
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La tourbière est traversée par un ruisseau dit des Dauges qui a donné son nom au site. |
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Hibernacle de Drosera intermedia en cours d'éclosion. |
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Le Rossolis intermédiaire est très rare sur le site. On le rencontre, ça et là, sur les zones nues car il n'apprécie guère la concurrence des autres plantes et à tendance à disparaître en l'absence d'entretient des lieux. |
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